Le silence pesait lourdement dans l’horlogerie oubliée, rien que géné par le tic-tac varié des horloges accrochées aux murs. Étienne avançait mollement entre les étagères recouvertes de poussière, observant chaque cadran, chaque engrenage figé ou en mouvement. Ici, le temps ne suivait plus une seule conduite. Il se fragmentait, s’étirait, https://trumanq011wpi4.shoutmyblog.com/profile