Arthur resta figé sur la scène, le regard défini sur le violon suspendu qui venait de pervibrer dans le calme du théâtre. Il n’y avait personne, aucun mouvement, aucune brise relativement conséquente pour pactiser un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer simple, comme s’il répondait à bien une popularité indisctinct. https://chaplinn279gnu2.blogolenta.com/profile