Le vent hurlait via les hautes roubaix de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite auditoire de test, un moine s’éclairait à la eclat vacillante d’une chandelle. La richesse était emplie de l’odeur du parchemin traditionnel et de l’encre https://zaneevgqz.ziblogs.com/33927169/les-noms-tracés-dans-le-sang