Dans une ruelle énigmatique vénitien, où les eaux tristes des médiateurs reflétaient la clarté vacillante des lanternes, une tisserande travaillait avec une minutie fantastique. Ses doigts habiles pratiquaient varier les fils d’or et d’argent sur son emploi, réalisant des étoffes d’une éclat inégalée. Mais ce n’était d'une part son présent https://stephenqbkqw.pointblog.net/l-étoffe-du-destin-77412916