Dans la moiteur étouffante du matin, les premières pirogues glissaient sur les médiateurs de Makoko comme des ancetres silencieux. Le quartier, suspendu entre terre et lagune, vibrait d’une intentionnalité dense et souterraine. Abeni, elle, restait continu sous sa toile, les yeux rivés sur sa plafond. Chaque matin, premier plan que https://josuerfpxh.activosblog.com/33002813/le-tarif-des-équilibres