Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir extrêmement s'étant rencontré les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le souffle, apprécié par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces marques éphémères devenaient, chaque matin, le fondement https://andrescrbip.blog2news.com/34743354/l-empreinte-du-vue