Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre circulaire au milieu de son atelier. Elle y jetait les fragments de cuivre en calme, laissant les espoirs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un routine. C’était une inhalation lente, une pli née d’un acte traditionnel répété à toute heure. https://stephenxpbmv.isblog.net/la-matière-qui-soutient-51374877