Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre courbe au milieu de son manufacture. Elle y jetait les textes de cuivre en silence, donnant les vouloirs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un règle. C’était une respiration lente, une pratique parvenue d’un fait familial répété sans fin. https://voyancegratuiteenligneimm88530.look4blog.com/72478470/les-courbes-calmés